Toutes les photographies de ce site sont soumises au droit d'auteur et sont protégées par les lois internationales du Copyright et le code de la propriété intellectuelle.
Les droits de reproduction, diffusion et d’exploitation de ces photographies restent la propriété de leur auteur.
Prendre le temps de dessiner, croquer, aquareller à l'occasion d'une randonnée en montagne ... mais pas que.
Le dessin est une question de regard, d'observation. La concentration est telle qu'elle s'accompagne d'une déconnexion et procure un bien-être à celui qui s'y abandonne. Une expérience à vivre !
De nombreux croquis ci-dessous ont pour sujet le Vercors, la Chartreuse, Belledonne, mais parfois le crayon m'emmène beaucoup plus loin : les Carnets de Randos deviennent alors des Carnets de Voyages
17/11/2021
Secteur privilégié par les bouquetins, il est également le lieu d'une curieuse construction humaine : le mur des Sarrasins
Une légende fait remonter son édification à l’époque de l’invasion sarrasine. La population de Corrençon-enVercors aurait édifié ce mur en toute hâte, afin de se protéger de l’arrivée des pillards. A l’abri du mur, les corrençonnais auraient bombardé les assaillants avec des pierres. Mais cette histoire pourrait n’être qu’une légende, consignée par des érudits du 19e siècle à l’époque de la conquête de l’Algérie… En effet, dans d’autres documents, cet amoncellement était appelé « mur des protestants ». Certains lui accordent une légitimité en accord avec l’activité pastorale. Le mystère de l’édification du mur reste donc entier…
30/03/2020
Accessible au départ de la Bérarde, par un sentier bien balisé, cette randonnée de presque 1000 me de dénivelé positif ouvre les portes de la Haute Montagne scultée par les galciers... La nuit au refuge est une très belle expérience, loin de la foule le plus souvent... Les dortoirs sont répartis en fonction des courses (et donc de l'heure de reveil), pour les "simples" randonneurs ce sera le dortoir des marmottes ( pas de reveil fait lpar le gardien)
17/03/2020
Au Moyen Age, le massif de la Chartreuse se trouve dans une zone de contact entre le Comté de Savoie et le Dauphiné.
Des enclaves savoyardes en terre dauphinoise (Miribel, Saint-Laurent-du-Pont, Tolvon…) génèrent de nombreux conflits, qui prennent fin avec le traité de Paris, conclu le 5 janvier 1355 : des terres sont échangées, des châteaux cédés, les enclaves savoyardes abandonnées au Dauphiné et le Guiers défini comme frontière… Mais l’absence de précision concernant le cours du Guiers – Guiers Mort ou Guiers Vif – entraîne de nouveaux conflits. La question dite « de l’Entre-Deux-Guiers » ne sera définitivement réglée que le 24 mars 1760 par le traité de Turin : le Guiers Vif sera alors reconnu comme frontière entre la France et la Savoie et un bornage mis en place. Des bornes en pierre calcaire, portant les emblèmes de la France et de la Savoie, témoignent de cette ancienne frontière d’Etat, devenue simple limite départementale lors de l’annexion de la Savoie à la France en 1860.